Tu parles et tes lèvres sont humides
Et ta langue dans le mouillé élabore en douceur une rivière de musicaux hors de toi dans lesquels tu n’es pas.
Toute à ton oreille, ton pavillon ouvert aux bêtes.
Et moi en humble apprenti j’ai conquis l’écoute active.
Je pousse dans l’humus arrosé caressant tes dents de mes feuilles.
Promise par ton front focalisé la rencontre est d’ores et déjà.
Se bercent les géométries courbées de ta nuque tenue.
Le jeu caresse ta joue à la peau de clarté. Comme suit.
Dans le cristallin commun de cet ici de fin d’été où s’inversent nos vues vers ce nouveau prochain plutôt d’échange, point du regard en angle timide mais large ta beauté de l’œil.
En appel.
Dans l’immaculé, contrastant un iris de violette améthyste, virant jaune comme la pierre, à la chauffe, à la lumière dorée déjà.
Sommes au creux de l’éveil le soufre et souffrons d’imiter le sommeil.
Comme surveillés enfants à la sieste rêvant de jeux de déraison, les sens exacerbés à ça qui respire l’essence à la volée dans la lumière volée à l’extérieur brulant du temps.
Transmajuscule au matériau limité.
Le tressage en trames compliquées de nos fils colorés enchevêtre nos plastiques en scoubidou porte-clefs de portes de cerveaux, de révélation, de présence et d’orgasmes. D’harmonie. De voutes. Sous nous.
Nos abstractions laissent un vide pour le plein.
L’île vraie d’il faut au sens large.
Un cri s’attend pour le chant bénéfique et couler nos limites.
Tentés et consentants, les rendez vous sont pris mais le retard nous fait languir et dans la torpeur nous empêche l’échappée au magique. Nous sommes là pour tant et reconnaissant dans l’inconnu.
Les atomes suspendent notre écriture et nous aimons notre peur de l’amour de la peur.
Nous tentons la transgression sans assurance de réussite mais en patience avec une nécessité mortelle. Sans agression.
Des barbelés de nerfs en rhizomes sous les frontières et nos draps de peaux flottant prisonniers sur le théâtre du couvre feu, nous sommes tapis scrutant l’aube libérée.
Maintenant présent le fusionnel en nos gestes de mains lâchant présentement le fusionné d’hier, nous controns l’empêché dans le courage des interstices de nos instants lâches.
L’artisan cosmique bricole les plans de grand œuvre sur la comète du grand architecte, note la partition sur les constellations des macrocosmes de nos microcosmes ;
Grâce à nos sous-venances interdites en tacite reconduction.
Opposées au déjà.
Une intranquilité inquiète en poison dans la vénéneuse des jours ensoleillés et des soirs déjà d’hivers catalyse des remontées d’acide en apparitions psychotiques sur les plaques sensibles de nage en eau forte.
C’était pourtant avant la récolte
Et je prononçais trois fois Mishima
Une fois fasciste
Une fois suicidé
Une fois poète
Comme tiré par ennui dans le mikado, un samouraï.
Parmi l’éclaté des baguettes en cosmogonie, la pièce jaune.
D’un autre monde, d’un avant, d’un ailleurs, d’ici aussi.
J’y suis aussi dit dans cet écrit de bois mêlés.
Voici vaut 10 points.
Gain fatal ou fanal dans l’obscur ?
Signe pas unique et entêtant pourtant insuffisant à la lecture intelligible.
Je n’ai pas la règle pour la suite.
Des cartes trichent. Je pense. Je suis. Pas mieux.
Je croise sans accroche et sans joie, sève en sillage dans le dessin, comme au xylème en parallèle, mon prochain mon lointain mon ancien mon noyau.
L’a-corps est de principe pour ces ombres sans ongles de saison dans la nuit des milliards et la disparition organise dans l’abêtissant des cœurs la disparition.
Au carcan l’animal à la chose publique comme étrange étranger au mieux à déguiser.
L’alchimie s’inverse du noble au vil.
Le réflexe d’une machine cadence le non danse dans l’anémie de mélange, déliant par chaines sans réaction, séparant par liens expirés,
déconnectant par immobilisme.
Le métal non fondu édifie sans élever des tours sans méandre en superflu et sans ciel.
Mur de rues pour coller.
La pierre de chimie bétonne hermétiquement l’arbre qui cache la forêt.
L’immortalité en spectacle sur les miroirs sans tain, publicité pour reflets d’homoncules, ne laisse Carl Gustav jeune qu’au regard de l’illusion de la vitesse du reflet sous surveillance malveillante du vieux.
Sans quête de l’élixir, le curry s’édulcore dans le plat décomposé.
Je pars en parler à la recherche d’épices espérant dans l’aura du sera et les ouvrages d’ouvertures de mes amis d’attributs beaux et abimés, mes aimés de l’immanence.
Au son du cor pleure l’âme dans la chasse au néant de nos chiens, chimie thérapie en panacée de nos anges à la curée. Manque l’émeute.
Dans l écho du boum d’explosion s’affiche le sourire parmi les cadavres et le sang. En proportion. C’est l’amour que dévoile la montagne déplacée.
J’en reviens en reflux à la nuque, je n’étais qu’aspiré.
Tu ne m’as pas quittée non plus du savoir conscient dans ton banal effroi d’absence.
Je prends du poids et cherche un mobile pour relancer le mouvement.
Une pierre encore, une philo-céphale pour aider à tanguer, fissurer le cristal du gel et fondre ma propre lave.
Ne donne pas le change la fausse monnaie de plomb du consentement aux maitres de cérémonie des faux mariages.
Balles d’argent content, se peut il entre les deux yeux.
Balles perdues de nos récréations.
Essais transformés en hors.
Dans l’antre voir ……
…….l’antre vue…….la paix recevoir……
…la paix reçue….
l’antre à paix reçue……
…….mi-née…..mi-
Dans la transparence de ce bled
La perle dans l’huitre
le requin caché dans son confort
Je suis le mangé dans sa paume,
elle est
sa joie d’échappée
Manon est au hasard
le fruit au paradis
l’asphodèle dont la hampe florale nue se termine par une grappe
de grandes fleurs étoilées très ornementales
elle est
matricule des anges 1976
grandes fleurs étoilées, star des grandes fleurs,
le poivre divin perdu,
La transparence ciblée.
Voici
Southern Comfort dans la fiole
Biscuits de pomme au ver mangé
Chute en silence
A l’horizontale
A la spirale du maëlstrom
Voici
Sous vient
sa joie au paradis et Manon du hasard le fruit
la pomme
le roman du ciel est un nirvana
les tiennes le mien lestent le lest
serpent
qui tombe du ciel
Tombés aux tombes
Etienne Paul Cheng Damien Citseko Carole Jeanne Habib
Manon iman Carole Aziza lu-li et les autres
par paquets de 76 vierges de tous les sexes
devenus corps d’ici.
bons pour la romaine
firmament dans la voute de la Nouvelle Zélande à l’Algérie
de Londres à Berlin
de l’Alaska au Pérou
ex eden
En Algérie au désert chaud
« Le marchand de sable m’a tuer »
la lune tombe
tombe du ciel selon le
less and mort
toujours quitté selon la masse
la chair des disparitions
reste un rire dans le vent d'Algérie
hahaha j’ai ri ….wouahhh Le simoun……
dans l’Hyper bol
il peut appeler le beau
les bois
Et s’y perdre dans la bolée
Dans le bal dans le bout du bois.
la lune dans le bol et le poivre divin dans le lait
le beau lait
tombe du ciel
en divine abscence
pondu du pondu
dans la galerie marchande
Vanessa Paradis chante :
« even i mean even »
méfiez vous des imitations
Eden Food Paradis suchis Eden Shoes Paradis Coiffure
toujours tondu
dans l’agenda
copie empoisonné de vide à la place du plein
deux pour un
le frère mort
devant un joyau
comme en jungle
l’animal
de chaque jour
ouais
joie joie joie joie
joie joie
joie joie
À la tienne Étienne
santé à satiété
donne-moi du laissé à l’abandon
il était une fois lu le sommaire et l’oublie dans la transe en transparence
la transparence est elle pour le confort de manger dans la joie
c’est ça santé un absent sans abcès
voilà ce qu’elle dit :
c’est quoi le …. eden?
c’est quoi le … paradis?
Parqué au jardin
parti
par qui es-tu parti ?
Elle rêve d’élèves d’Eve connaissant la mercy
la dent d’Adam en trace sur la peau
sans doute sans dette
À peine le jeune sortie de
le voilà à peine sortie de
l’œuf
jeune d’œuf
le lésé a l’aise et alone
jusqu’à dix paraître.
Ça y est
et toi aussi.
Au macro
Au chaos et aux détails
Passe par le filtre
passe par le micro
passe par le texte
recommence ce dimanche
Dimanche comme toutes les semaines de jours nommés et triés
et le 7ème il reposa
la question
étendu détendu
là
parmi tant d’autres.
Passe par les fils du temps
Les fils conducteurs et les aiguillages
Tends
Tente le déraillement
Dans le temps
Le temps s’étend d'autant dans tant de possibles
L ‘étendue des temps indus s’entend
Pourtant à venir
Tant ceux Insus que ceux induits s’il en est
Avec pourtant ce temps d’antan passé au crible
Que l’on croit
Comprendre
Ce qui fut.
L ‘étendu des temps indus et induits
Sélectif sois des heures !
où
Créateur
Tu effleures Les fleurs d’explorateurs
de leurs créateurs leurres libérateurs.
graciles et beaux
voeux et cauchemars
Si c’est bon j’ai mon monstre à rêver.
Dans les yeux passoires
j’ai mon monde à rêver des larmes jusqu’ à sec
de la clepsydre des amours et des fictions
Certains frottent et caressent
emballés
Surcodés, sur-présentés cachés
Gracile et beau
parle
vœux et cauchemars
Si c’est bon j’ai mon monstre à rêver.
Nomme non exhaustif
Provisoirement
Le provisoire
L’éphémère
Et de suite après vois le visage
La peau sous le masque
Et ainsi de suite en fuite ensuite
Dans les yeux passoires
j’ai mon monde à rêver et à percevoir
et des larmes jusqu’ à sec
De la clepsydre des amours et des fictions
Hantées des statues de sel aux abandons des chemins
Dans les poumons passeurs
et de dentelles
expirer vos jeunes années
inspirer la mort
ça peut attendre une heure ?
Sors clandestin
du lieu du refus au tri monothéiste et au cerveau crypté
et décime au virage
les corps et esprits disparus et errants au décidé de l’éternité morte
Au crime à la plage de vie
A dessein sur le sable
Déduis du détruit les débris
et la vie de l’évanoui
au criblage des images et des pages
et des cimes aux rivages
des sens en descente
en tonnerre et éclairs en entonnoir
du noir à la lumière
on espère
libre
à la croisée, aux fourches, aux rhizomes et ramifications
sans gabarits, cas non canoniques, pour de nouvelles formes
on espère
le chameau et le chat de l’aiguille
étendage d’enfance jusqu’à la vieillesse et la mort
suivi de fil rouge
jusqu’à à l’os
et les anges.
Si c’est bon j’ai mon monstre à rêver.
Quelque chose vient cependant.
Par des affinités électives on est tamis.
Quelque chose du diamant qui nous minerait.
Edward Munch et Schwarzy
dans le même texte
dans le même bateau
au large du multiple de la mer.
Dans les choix et ce qui échoie et les murs fermant
formant couloirs au labyrinthe.
Enceinte prégnante.
Murs d’expositions et projections, peinture , cinéma, avec portes.
Le cri
Sur mars s’asphyxiant dans la pénurie d’oxygène au « total recall »
projet criblage en algorithmes aux souvenirs fictifs à venir.
Muet du Terminator qui passe le passé
su et vu et cru
au crible et à la dynamite
pour dériver les embranchements
et changer l’avenir
su et vu et cru.
Vertige de l’existant à la nuit étoilée
le cri bleu
des folies mélancolies
Dans les déserts, les jardins, les villes et les jungles
Passe par le filtre filtré passe par le micro faune passe par le texte pensé
recommence
comme toutes les semaines
et tous les jours il reposa
étendu détendu
la question
Passe par les fils du temps
Tends
Tente
Dans le temps
Le temps étant
tant de possibles
L ‘étendu des temps indus et induits
graciles et beaux
vœux et cauchemars
j’ai mon monstre à rêver
dans les yeux passoire
j’ai mon monde à rêver des larmes jusqu’ à sec
de la clepsydre des amours et des fictions
Et à la paix brutale de danger
Entrez maintenant et perdez tout espoir
A l’hôtel de « alors voilà c’est comme ça »
Des chambres mouvantes
quelques meubles
et la sensation de fracas.
Mordu à chaque homme chargé d'ennuis dans les couloirs
Tout d'abord immédiat
Souffrance sourde et tension inquiète
Un couple magnifique
Des liens et la sensation de tracas.
Enfin les mariés
Classes à craindre, castes, dynastie révélées,
renouveau des troupeaux
Poêtes et fighters empoisonnés
En chasse sur les murs.
Tu as raison Charlotte pour les punks et les poêtes
vidéosurveillance
lumières glauques
tasers et matraques
pour le bien de tous
ennemi du mieux
nations démocratiques
Les violents à la barre
aux barrières
Masturbe la puissance en pleurant quoi qu’il en sorte
Sperme pleurs ou sang
C’est déjà mort
ces petites causes, cher frère, à cette épave
bétail
terreurs et pithécanthropes
religieux en costard trois pièces
femmes et enfants égorgés
le petit mâle de sa maman battue soumise
se touche la bite dans les miroirs avec ses copains mais chacun la sienne
you tube
volupté sans contact
un troupeau armé comme pour les hommes mais sans âme.
La guerre agitée.
les yeux sur le crime,
tous coupables et plus de rédemption
pendant que nous bavardons
à la paillotte
même pas clandestine
activité automatique suspendue
la bombe qui êtes aux cieux
fuck
la mer se retire
Retombe donc en paix,
Écoute bien
Nuit après nuit le grave ordinaire.
les arbres et le calme
reverrai-je ?
.
lamentable lamentation
attention. Petit homme,
choses défuntes
christ
jour à visage.
trou dans la muraille
Intentions hasards interstices
Amour à la fraude.
Multipliez le ;
Sert des verres donnant le sentiment de la réalité.
Enfant, l’intrusion dansée de la neige effaçante te faisait passer.
Tirez-moi d'ici !
White is white
Tout est en place.
Un Monument qui grandit de l'abîme
Tant de milliards leur échapperaient... ?
Qu’ils en pisseraient sur les étoiles .
les fats de l'appétit,
Excités par la rue à se connaître.
Taillez moi une plume pour Rêver .
Le gouvernement est une institution que les insurgés trancheraient t de leur vie sans la chaîne des gouvernements d’insurgés.
Pénibles gigognes
Situations poupées russes
La grâce de la vache 752.
Dans le misérable troupeau
S'éloigne l'ombre d’un mort.
Potentiellement ami,
il marche Fatigué longuement inconscient, méthodique.
Foi Progrès. à méditer, à devenir
Libre est qui ne l'était pas.
Mains sur son ventre.
Ça porte bonheur...
Il existait une chance ?
L'espérance des esclaves ?
L'occasion d’ assurer à jamais l'homme ?
Le privilège du droit chemin ?
Combinaison des fils trop au miroir et sans la mer.
Reliure de l'adolescence dans l’album du père mort dans les années lumières
Déclaration qui maintient la précédente
Précédents
aux barbelés entrés dans la chair
Domptés
On prend, perd et reprend des barricades ;
L’ardoise des idées noires.
Pouvoir répulsif.
Inerte,
Parvenus là,
Clos
Sans départ et sans portes
A la rive des rixes sans risques
Sonne la fête et c'est muet,!
Imaginez-vous,
Maudites raison dogme
Vous avez tué l'homme.
Debout en chemise
à la fenêtre de nuit
dehors ma mère s’est pendue
il gesticule beau
mais automatique comme souvent
le ciel bientôt foncé
dit : tomber c’est tombé .
c’est toujours ta journée
et c’est soleil jusqu'au soir
puis sentant la seconde
tout ça devient violent
la journée prise à une tour
Simplement quelques pas
pas du tout simplement
ma route m'achetait des sens à travers des paix
“elle “
elle est enfoncée dans l'eau
elle prenait si bien la pose
que je lui permis des reculer
sous peine de perdre mes moyens
et c'est ainsi qu’ enfin
si même en fronçant de furieux décès d'humour
des “en vivant‘
des “pour normal“
je sais pas
impuissant
j'entendis s'écrire la maison grise
et on installait le passé
mon regard vers quelque chose
un moyen de le multiplier
le déchiffrer à la fenêtre
les très doucement peut-être
moi je veux bien le moins
voilà
un autre :
le lecteur de la pucelle qui me déposait chez elle
elle chante puis ….me fait le massage classique …
toujours très très très mal…… par devoir civique .
Cette journée est devenue un autre aura dans mon sous venir.
out ce tout qui tient dans des châssis.
signe de la faveur .
pour l'instant vient l'histoire, tout va bien de la revoir,
Après moi rien puis le nouveau,
Vivement le soleil donné en place .
j'ai cru voir le musée .
bandes noires et rouges peut-être .
la verdure
il semble que je n'ai vu sa disparition
je n’ai vu que le soleil
mur blanc murmure.
il est dans son lit la suite de cette journée
Envoyé
je ne regrette rien du jour
sinon mourir
Méditation
L’histoire c'est pas un jour
maintenant dépensé par les mêmes empêchés sur moi
je suis la souffrance
Mettez le juste grand en moi
comme il est dans ma pensée
voilà
moi
nous retrouvons une montre avec des yeux
que la lessive puisse laver de l'obscure heure
le même SMS Envoyé nulle part
et pourquoi pas vers les refoulés
cette fois de ce manque
voilà le fou :
damné en damné
un air un peu plus libre
il n'est plus question de questions
je remonte le chemin
une flotte et un crâne
et pour brosser les esprits j’ avancerai le même pas lu
la question du demain crevé sous le vent
mon corps est chez mon père
Si s'emmerder jusqu'au soir est ce cours, il ne devrait pas …
Rien ne sait si c'était ,
mais combien de fois ?
une nouvelle acoustique ?
la fin c'est ce n'était pas.
la fin c’est important.
la fin avant l'autre personne au « je sais ce que moi aussi »
je vais finir une lettre celle d’un fou
au lieu dit « le bois donc on fée »
amour
presque la rive de l’ amour
Je vis avec un crédit en cours et tire sur une grande chaîne l'ancienne, la voie jadis, le rien écouté de la somme due
Le suivant mes yeux couleur de plomb
il faut le regard qui porte le contenu de la veille
que j’aille m’y retrouver si j’y suis
dans la pêche à la fosse
il semble que je sois rouge comme une mauvaise langue
des billets
des sous reçus d’un vieux fou
et le portable de l'enfant
j’ai mon dû
oui je suis la journée de là où je vis
le regard dans votre bouche
je le craignais comme de Voir le vent marmonnant tout autour
et laisser passer quelque chose
que j'lis la suite que lie la la suite
et en finir avec cette vieille scène
en arriver à celle-ci est à ma récompense
alors ce sera plus comme maintenant sortir aller virer la route
je me retrouve je suis déjà l
là haut dans les fougères .
ça vend de droite et de gauche.
Avec les patrons
en faire gicler les gouttes séminales
des ordures,
les mêmes obscénités sans arrêt,
gorge en feu à avaler dans un supplice,
j'avais beau lui trifouiller…..
rien
il faisait de la vieille cire sans doute pesant sur le scrutin.
Je calme l’ extraordinaire sur toute la nature dans moi
Aussi
Ainsi
tout parfaitement calé
une coïncidence
pourquoi ce torrent de jurons
je n'en sais vraiment rien
non, non
pas de bêtises
non non
c’est comme avec le bâton
comme je le faisais
quelle folie
possède-moi si tout est faible
je n' ai plus d'aller
une coïncidence du pourquoi de ce torrent de comment.
le chemin est saisi à quelle folie ?
le chemin est saisi à la ville transparente
et à mon espoir aérien
Je sais dire je serai libre…
Refus je refais
un pro de silence…
je ne peux pas vous avoir
trop faible par moment
c'est à ce qui sort de moi de dire une chose
moi aussi
je n'avais pas le signal
(ou que la bannière chat qui me sourit)
je ne vivais pas la chose pour l’exemple
mais pour moi
qui porte porte
du signe insigne
je l'aurais désiré aussi
le bonheur
par la gloire
le je fais plaisir
je devais aller le tester,
le vous tous
peut-être
le manifester
tous peut-être qui manifestaient
le pénis sur le jeu de Jean-la satisfaction
ça va pas durer maintenant que je pénètre dans la nuit
j'ai comme des lueurs dans le train du j'aurais pu arriver à quelque chose,
Jean la satisfaction
me dit de sa voix je pars encore pour des questions
pour longtemps.
Sunny
encore plus
encore plus pour le feu toute autre ingrate génération
ça va pas durer
Maintenant que je pénètre dans la nuit
les lueurs dans le train se terrant ingrates
pas totalement données
Vous partez ?
salut
suffisait de me poser la question
je dirais que les mains dépareillées sont faites pour l'activité
la mienne
sa place dans l'assiette !
j'aurais pu arriver à quelque chose avec 43 vis des plaques pré-percées en mécano colorée .
robot
ainsi même pour des centaines de mètres
les extrémités sont à tomber chacune de son côté
elles se secondent de longues minutes
rarement davantage elles ne pourraient jamais./
Souvent avant sur votre avance …
D'abord tu réformes des accusés en laisse
Puis trouves une version maison du signe de : Viens !
Vous partez ainsi
les extrémités sont rarement le salut .
D'abord tu réformes des accusés en laisse
et naturellement
tu les les laisses
tu les lâches
désolé
trop lâches pour moi
des grandes villes assez cool.
Assez vides mais je ne tardais pas à les remplir
une maison du signe et de nouvelles connaissances
on encense les créatures achetées au jour.
le combiné combinatoire comme souvent-peut-être similaire
Une chanson « souvent-peut-être » fredonnait qu'il allait être quelque part au même :
"je viens de te passer le reste de la Terre
et le cheval est dans un livre lu au chien
Vierge Blanc à écrire
Il cavale sur des signes de kaballe
Le chien sourit de ses dents blanches
Le soleil est en enfance de la musique
Au zénith dansent les morts dans des corps dénoués
Radieux"
C’est moi sous la loupe.
Calfeutré et portes closes.
Fenêtres fermées sur fenêtres fermées.
Dans la nuit le jour.
Dans les couloirs entreposés-superposés sont des couloirs oubliés,,des couloirs inusités.
Sur moi le cocon.
Je suis dans ce temps sous la loupe et le détective.
Chercheur cherché.
Lépidoptérologiste et papillon.
Un en ombre en arts premiers sur l’écran écrin des murs.
Phalène éclairée par le feu, Invisible pourtant, du foyer.
Voletant à l’entours et pourtant épinglé là sous la loupe.
Empereur satellite d’empyromancie et larve chenille à moitié séchée.
Délaissée.
Observé et objet d’archéologie.
Entrailles d’oracle.
Pipe-line des viscères et fluides ininterrompus depuis ce qu’on nomme la nuit des temps.
Écheveau biologique du présent et Adn de sauterelles des plaies d’Égypte.
Microbe dans un chat mangé par le chien mordant l’ancêtre de la mère de mes enfants déposé par mon papillon.
Qui n’est plus qu’un souvenir, une vibration, une onde propagée dans l’espace extérieur, dans le vide avec célérité.
Ectoplasmes en fresques de traces fantômes.
Intimes.
Ci git le noyau momie.
Qui de L’œuf ou la poule ?
À moins qu’au contraire au dehors et déjà lointain mais c’est relatif,
par transparence sur la voûte, le Lepidoptera danse à l’entour de l’écrin.
Que je suis celui-là.
Provoquant par mes battements d’ailes écaillées d’infimes cyclones.
Sous d’autres loupes d’autres cieux.
En géants de parthénogénèses rêvées et microscopiques, je n’échappe pas à la vigilance d’un binoclard collectionneur retiré au creux d’une autre gigogne,
qui tente dans le brouillard, qui essaie dans le noir, sous ses verres grossissants et déformants, d’élucider le mystère de mes présences présumées coupables par inquiétude dans son microcosme.
Avec un soupçon de lumière naissante, caressant des yeux la beauté adolescente absoute, la nymphe de naissance dans sa chrysalide, célébrant muet et hypnotisé ce larsen de renaissances, il écoute avec délectation ce hoquet d’oiseau qui envahit toutes les pièces vides, d’échos en échos, ce chant en rhizome, et le reprend avec nous, en choeur.
Je joue mon ombre
En somme
Plus ou moins
Sous ce trait divisé
Dans l’effraction
Je te calcule
D égal à égal
Sans retenue
Et multiplie les solutions
En puissance
De pi en pi
Au mètre carré rationné
Je prends la tangente
Et change de cercle
Quand c’est plus mon rayon
Je conte …
habilité en parabole,
l’Opération quitte ou double
Tire un trait sur la règle
pas d’équerre
Rapporte du lointain des Racines d’infini
Différents ciels
En parallèle
fractionnent
La valeur absolue de l’entier
En fonction de
La fréquence des impairs
Facteur d’identité
L’inconnu
L’intervalle
L’inverse
Produit une suite…
L’organisation va détester ta traîtrise
d'aller à pied
sur ta voie pédestre
Pourtant et tant
Proche de l’os
Piètre allée
Disent ils…
Elle même origine
pourtant
Et tant
l’organisation n’aime pas
Disent ils…
ton succès de ne pas succéder
sauf au sauf
Sans reconnaissance
Mais avec gratitude et connaissance
Sans paternité
mais avec des pairs dans l’ancien
enfant naturel
au vent
d’origine
en tout au tout de là
ça
à quai de l’océan
de l’homme
d’abandon
aux aguets pour le rituel intime :
en passer au présent la vibrance des futurs,
les cris du chaque,
la musique d’amour infrabasse et les voix cristallines des poèmes lumineux,
la confession d'une faute en bijou d’amulette,
se laisser à Léa et d’autres
en révélateur dans le soin
des spectrales possibles en âmes d’amis de présence
pour tant et tant
le totem du tout t’aime
abondant.
l’organisation te fera oubli
si tu oublies
Pantin de la porte fermée
Au fil cousu
péché ridicule
lié
niais
nié
Girouette grinçante de brume,
Esclave de l’enclave
fantoche du moche
marionnette voilée d’évanouissement
Bouffon du bout du fond
statue du but vaincu…
Laisse sans laisse tes figurines burlesques
agiter les membres au Dantesque
ta joie au comique des cuivres de l’orage
t’inviter au gala du lièvre de mars
vis des gestes excessifs
dans un noyau de danse dé
Espèce d’individu de hasard et de fusion
spécimen d’exemple unitaire au multiple
caresse le matin de ton corps vivant
divisé sans être détruit
La gale de l’organisation creuse sous l'épiderme
De ta cathédrale des sillons de fines lignes grisâtres
Bats toi prêtre nu
Ministre du culte d’enfance sérieuse et mélancolique,
des couleurs aux propos intimes, écrits d'une plume d’oiseau sans nom mais au chant d’évidence et de sirène, d’une encre infinie et visible et invisible en syncope, en des lettres modernes et anciennes sur le tissu insu.
Entrelacs de pulsions des échos de beau naissant au beau, d’une tripée d’animaux sauvages de raisons et de déraisons aux mandalas d’émoi, d’ivresse de liqueur distillées avant ta naissance qui s’évapore au tout de suite en suite…
l’organisation tourne l’écrou de verrous vers nul part
et les fenêtres murées dérobent la neige et son parfum d’extase blanche au veilleur de jour.
Enfin.
c'est fait.
fait et refait.
comme séparé-collé, plus de distance/
appartenant en orbite aux ciels
des inerties de nos fusions
l’éternel retour, l’espace, le temps
nu à 300 000 km/s flottant et omniprésent.
Les pierres précieuses fondamentales chargées
à marquer le terme d'une longue attente signent.
Suivies de loin et depuis longtemps par soi,
s’inverser dans la chair, pris, mordu dans l’œuf,
l’ouf de ouf en spin spiralé servant depuis l’origine à servir l’inasservi reprend le travelling, not back. Traverse.
Plan séquence dans l’Eden et contrechamps de déjà vu
Multi-caméra sur les rails de ces fameuses chambres noires,
portes ouvertes, lumières en fuites.
Le passé renifle partout, et refaite est la fée à la défaite des fêtes
Elle pisse et se love sur son territoire de guerre.
rain and tears out of the life en sniff de pleurs et de drogues.
Empathie de nous de toujours.
Graver dès lors, dès ce temps,
La gravitation de derviche sur ce point de l’interrogation
sur cette matière de fable spirituelle du réel
pour réitérer une question dont on a oublié la réponse.
Heureusement.
Parlant du passé ou de l'avenir, enfin sans fin,
pas obsessionnel mais révolutionnaire à l’infini
en l’éternel retour.
Manège sur les hauteurs en mouvement dans son cercle
Pourquoi parler l'été ?
Pourquoi parler dans l'été du surexposé de l’été du surexposé ?
Le chanter vibré après,
Pour le plaquer sensiblement et sous venir dans l’avenir à cet endroit.
Révélateur. Ailleurs. Un enfant. Un rire. Un baiser.
Flash back appelé d’émoi.
Exposé de lutter pour mémoire des valses de nos anciens et regain de demain.
L’Appel des mois de lumière aveugle durant des doutes se délitant élucide et débute la déroute sans cible.
Projecteur sur cet endroit Back/black.
Lumière arrière au lointain et contrejour des corps en silhouettes au proscénium.
Play dans le spectacle. Histoire et dessin.
Les minutes les secondes mesurant les angles du plateau.
Back/black front light dans la mystique mission de son émission d’ondes de chocs, de création de verbe,10 000 milliards de milliards de noms de Dieu, belles pensées au mieux du son et des courbes.
Et le récit plus comique en cours que le plus dramatique en discours. Érotique en amour.
Ouais ouais le chien approuve et le homecar passe.
Et toutes les bêtes sont dans ta nature.
La course à la file file ton désir.
Pousse le pousse-pousse des nouveaux nés,
les egos éclos en échos au réel de puissance.
Les présences des déliquescences en dentelles du cantique des cantiques résonnent.
La lubie publique indique la limite à l édifice par regards et doxa
et fixe la vision de ton droit sur un morceau tellement choisi qu’il dénature le tout. Le morcellement moisi de lubie publique en lobby. Je ne copierai pas tout. J’ai le choix.
Début à atteindre encore et encore en vain enfin, puisque de droit il n’est rien. Sortie de secours.
Mais les regards aussi,
Trous d’hommes vers l’envers et l’endroit du tout, épiphanie de la peau du jour en remonte du sublime, coquillages, vortex et seuils des mondes, le raffut reporté pour un bref instant dans le calme tendu, la chaleur liquide en intraveineuse, l’air brulant aux narines et le sous-crâne ouvert. La peau . L’été du surexposé.
Avoir l’appétit pour Malherbe et bon grain planter.
Rose, elle a vécu ce que vivent les roses
l’espace d’un matin.
En faim, l’aube d’un mandala de rosace...
L’un du multiple.
Chagrin de l’araignée sur nos toiles de maîtres, espoir sur
les toiles du levant. En fin.
Grise est la permanence,
sans immanence.
le juste essoufflé.
l’Un peu près au contact froid
et chaque un à sa place dans le bruit
mais pas aux gymnopédies.
Alors
flip flap dans la nuit
Les pas de polka au désir de vive allure passent à la prise morne et avide.
Le rythme d’abord rond se carre aux pas noirs sombres et brillants et referme l’espace du trait clos d’un mouvement bégayant des carrures de bas fronts et d’affronts.
Le saut fait la queue de comète et manque d’air au tunnel.
Sur les fluxs d’infos se cognant aux retours,
là se déguise aussi à la vue l’exquise vie.
Les groupes sont répartis selon les réparties convenues
et c’est reparti pour rester le reste frelaté.
Alors
flip flap dans la nuit
Les consciences observent les ondes raidies à rien
en cercles concentrées dans les flaques laquées d’un lac de signes,
le classement des volontés à soustraire jusqu’au néant des signes particuliers,
selon le barème de contrôle des plus et moins à la félicité des annonces, au pourrissement du pour en la contrée des contres,
et l’habitude revêtue de l’habit des reflets,
les corps refaits des défaites, nus mais cachés du soleil.
Alors
flip flap dans la nuit
au saut,
l’aile coupée en vol d’un voulu perdu aux dés,
triché par des bandits et puant dans le déserté hanté et l’abandon du tout,
à vu tout à coup.
Il y a une drôle d’odeur d’arôme goût synthèse de mort,
et dans la vitre en lieu et place de soi au miroir,
l’aveugle aux yeux de verres et au cœur de pierre,
sans tripes en bad trip en boucles,
assène le larsen
Alors
flip flap dans la nuit
les flics de la « géhenne républicaine surveillance »
les GRS (prononcer géheresse)
empêchent quiconque d’Errer
le choix
Ça va droit au terré
On dirait
ça oui
on dirait qu’on dirait
ça
oui
et gérer ça
l’illusion d’opter
le figé d'une soupe des morceaux et le liquide de l’émoi bileux
dans l’heure du soir et les tombes jaunes
Alors
Assez
flip flap dans la nuit
pour rire sans le ciel
on félicite
l’autre regard.