top of page

Avant toute

je voudrais dire que la       que je redoute,

entre autres       ,

c'est de ne pas retrouver le mot,

pour dire ça,

la

pour pouvoir nommer telle ou telle

ne pas pouvoir appeler les       par leur nom .

 

Et là ça a eu lieu. C’est       faite.

 

Georges Perec disait je me souviens

mais  là,

malgré l’entretien régulier de ma mémoire

au moyen de toute sorte de  

 je ne me souviens plus .

Du mot :

 

Du coup une toute petite       insignifiante  devient innommable.

Et imaginer une       glaçante comme dans la banquise de john Carpenter

ou gluante  comme dans un cauchemar glauque et marécageux devient alors possible.  

les       n’ayant plus de nom, elles peuvent perdre aussi leurs formes,

afficher du coup des contours incontrôlés dans l’imaginaire. Chaque       en son temps ou à sa place 

c’est toujours la même

mais c’est où et quand ?

Tout devient bizarre.

Mais c'est quoi cette       ?

Un sosie de cousin machin et la        de La Famille Adams  croisé avec  le duc de The Big Lebowvsky?

Ha non, c’est mon voisin !

C'est une façon de voir les

parce que voir les       comme elles sont

et regarder les       en face,

Ce n'est pas       aisée ni       facile,

quand le mot désignant la       en question échappe,

J’ose dire que la       peut même disparaître,

si on la croit faite de l’étoffe de son nom.

eh ! petit ! mets un bémol

Il faut faire la part des       et mettre les       au point :

Car en allant au fond des   

on trouve l’essence des       .

La       en soi.

Ce qui m’a toujours le plus troublé c’est de connaître le nom des       qui petit à petit les a recouvertes jusqu'à les faire disparaître  disait Nietzsche.

       promise ?           

       due ?

       dite !

       faite !

L’essence des       .

De deux       l'une. 

Mais c'est la moindre des       que d’essayer de chercher cette essence et encore et toujours si d’autres mots les renomment.

On sait un tas de       si on sait que la beauté des       est au sans nom et que le hasard fait bien les       et que c’est faire

les       à moitié que de ne connaître que le nom et pas la nature intime des       de la vie.

Voir le très haut dans les       d'ici-bas,

les nourritures divines dans les  petites       à manger, 

et  admirer et caresser des yeux les corps

les étreindre sans brusquer les       mais sans tabou.

Avec machine moi machin on fait des       , des machins.

(Porté sur la       , ce sont des       qui arrivent, bien des       à votre femme)

porté par les       en rêvant de grandes       ,

Dans l'état actuel des       c’est pendant le cours naturel des  que se font le mieux  les leçons de       .

Quelque       me dit que  c'est dans l'ordre des

par la force des      les       étant ce qu’elles sont,

on les prend comme elles viennent .

Pas le choix

Who wan’t to choose

None of them.

Voilà où en sont les       .

C’est la vraie       publique

Je voulais dire toutes ces

Mais cela peut paraître inutile vu que le mot désignant la  principale m’échappe

et reste en blanc.

Il y avait peut être autre       à faire

J’aurais pu parler d’autre

Tenter de penser à autre

Et pourtant c'est déjà quelque

Je me dis qu’il  y a quelque       là-dessous.

Qui reste en silence.

Sur le bout de la langue.

Mieux qu’un mot donc

Bien peu de

La       la plus informe qui soit .

Une, comment dire ? ha oui,

voilà une bonne       de faite

la       me revient,

le mot :

chose

bottom of page