top of page

En amont

Dans la peau

Avec

de  la mort

L’aval

La vie et les rieurs de quartz

créèrent le sable à notre image

ils continuent

les rires nous les surveillons

aux contrastes et au dépôt

Etonné de s’être plié

L’âge fait relief

A l’ombre et en surex

Tous ces moments

D’yeux

continuent

à voir et se voir

en échos

étonnés

Mes masques au même axe

M’effraie le passage

Mon sang est rouge en noir et blanc

Tu m’as attendu trop longtemps

Au jeu des voies

Peut être ou pas

Tant que frottent les strates

en amont

Amont

Mue
Ombre soi
Deeper
Fratou
Pierre à eau
Gray Matter
Hivernale
Jijusan
NIep
Pause
Lest
Nanouk
Daliath
Mind
Naomé
Koura
Omoï
Sisha
Touro

Ouka

mue

​

 

​

Cheval de papier
J’écrivais l’archipel sur la mer
et l’oiseau décrivait notre étreinte.
De loin la promesse limpide reflète un écho de soleil.
l’été d’éternité.
Et l’ombre soi.

 

​

​

​

​

​

​

​

 

 

 

 

 

 

​

 

 

 

Deeper simiesque 
Mon frère à la nuit bleu d’essence 
Desapear 
Vue des sus dessus aux déchirures
Dessous
Déjà pire 
Éclos
Le silence à venir
Deeper spirit

 

​

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

​

 

Couche et regarde 

Pénètre dragon 

Je te mange 

Je te vois 

Regards et couches 

Veux 

Ad vitam 

Yeux et vie d'âmes 

Nous fûmes mouillés 

Lubrifiés de limpide 

je suis mon vœu 

Dans ton sillon 

Noir profond 

 

 

 

 

 

​

​

​

​

​

​

​

​

​

​

Toutes ces années

déjà enfant 

tu étais là 

menaçant 

de certifier 

toutes ces années 

de pierre à eau

nuits d'habits mouillés 

de menaces 

à certifier 

à  suinter 

d'années

de peur noire 

et 

de calme certifié 

 

​

​

​

​

​

​

​

​

​

​

 

 

 

Tous nos animaux 

en sieste florale 

Tous nos sens 

épanouis 

en nos tous 

évanouis 

Concentrés au mélange 

Les plumes nous déshabillent 

Tous 

​

​

​

​

​

​

​

 

 

 

​

​

Dentelles sur le mur des murmures 

C'est l'hivernale du risque et du protégé 

Torpeur Géophage d'un sommeil géotrope 

La couche accouche d'un gemme 

Personne ne le sait et personne n'attend 

Il y aura douceur dans les creux et feux dans les épis 

Un jour 

 

​

​

​

​

​

​

​

​

​

​

​

​

​

Il m'en reste 

Le reste ment 

Au large 

Tu meurs sur l'éclat 

Je vis 

Près 

du large 

Qui meurt sur l'éclat 

Je le suis 

Au large 

Additionne moi 

Addict 

Du large 

 

 

​

​

​

​

​

​

​

 

Bien sûr 

Décapités dans nos nuits 

La comédie cartographie. 

Le vêlage réécrit chaque début de chaque fin 

Et toujours cherche la fillette. 

Le conte est mauvais et brillant le rubis 

La chaude pierre envahit 

Le mal doute aux nuits douces 

 

​

​

​

​

​

​

​

​

​

​

​

​

​

​

​

Je t'aimais dans nos brumes 

Furieux et beau 

Des bords 

Des finitions sans définitions 

Écrites à l'encre danse 

Qu'est-ce qui angoisse à présent cette chorégraphie passée ? 

Ma perte, la tienne, ou ta fureur devenue glaise ? 

Tout ce monde autour de nous ! 

Pause

​

​

 

 

 

 

 

 

​

​

​

​

​

​

​

 

​

Continuité du bouillon, 

Un plan d'insecte. 

Le futur à notre niveau, 

allegro ma non tropo, 

la séquence en spirale, 

like Superman recueilli, 

s'émancipe et s'expanse en glacis. 

Et pour tant le lest est mille milliards de fois

 

​

​

​

​

​

​

​

​

​

​

​

​

​

​

Nanouk se fourre sourd aux fourrures 

pour lourd s'évapore les pores au léger 

au chaud disparu à poil d'elle aux fourrures 

passée les entrelacées à l'aube éclairée 

suées sur les peaux collées au moité. 

C'était il y fort longtemps pour toujours 

L'été d'être à la couche en forêt

 

 

 

 

 

 

 

 

​

​

​

​

​

​

​

Ça se déploie loin des lois 
du moins celles du moins 
du moins celles non pas d'ici
celles du supposé d'ici 
celles du superposé d'ici 
celles du posé d'ici
lois, s’il en est, 
plus d’ici d’ailleurs
celles-ci du plus
du loin 
d’émoi
d’ici

​

​

​

​

​

​

​

​

​

​

​

​

​

 

​

Pierre jean d'été 

dit Glissant Des Aspects 

dit Torrent De Montagne 

philosophe et ruisseau né et mort en 0 du temps fixe 

devenu jour il y a trois bientôt 

laisse le blanc disparaître 

à nouveau 

 

​

 

 

 

 

 

 

​

​

​

​

Tous les japons étaient de pierre 

Tous les touristes étaient abandonnés sur la lune 

Les enfants avaient l'espoir dans l'ombre 

Les adultes étaient avec eux 

Le soleil éclairait la lune 

Le transport était promis 

Tout restait irradié bien avant l'explosion 

mais les enfants avaient l'espoir et les femmes étaient en lotus 

et les hommes étaient des chiens morts.

Mais les enfants avaient l'espoir dans les dents blanches. 

 

​

 

 

 

 

 

​

​

​

 

​

Puis le retour 

Croire et puis plus 

Puis de nouveau 

Il paraît 

Et puits pluie 

Qui croire ? 

Ou non ? 

Tampon d’éther à mort douce 

Les ancêtres de sel dansent sous la pluie 

La fabrique de larmes vend à crédit 

des musiques évaporées à l'équateur du temps 

 

​

​

​

 

​

​

​

​

Omoï sabre au cadran 

Le temps 

en seconde 

depuis l'axe 

à l'envers 

au théâtre en couleurs 

de derrière

les coulisses 

croire et désirer 

Oui 

 

 

​

 

 

 

​

​

​

​

​

​

​

 

​

Nos sens 

nos sangs 

échangeons

nos larmes 

nourrissent 

d’humide 

humilité

la faim,

la fumée de 

nos dieux 

désirés

et le mystère 

nôtre 

en secret 

gravé sur le 

vide.

​

 

 

 

 

 

 

 

​

​

​

​

​

​

Toujours restera toujours 

Au creux du creux 

L'enfance de l'enfance 

Dans la pierre 

Dans la nuit 

À l'ombre de l'ombre 

Tous jours de toujours 

​

​

​

​

​

​

​

​

​

​

 

 

 

​

​

​

​

​

 

 

OUKA est un collectif d'enfants 

l'un se nomme 

Inerte et l'autre Organique, 

In et Or de leurs surnoms, 

Ils dessinent des portraits sur les tombes des transparents 

Ils se connaissent depuis longtemps et la mort ne leur fait pas peur. 

 

 

 

​

 

 

 

 

 

 

​

​

​

​

​

​

​

​

 

Au bal des Tectoniques en flotte
Aux Nerveuses nervures des déjà vus
Aux Ecorces des limbes
Aux Marbres d’arts
Des Milliards de milliards de milliards
D’arbres d’âmes
Derrière
En douceur
En sommeil
Aux ondes alpha
Rêvent
un bal.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

​

 

 

Aux coins blancs des yeux

Bruns bleus
Les Sans Noms 
s’appellent sans cris
C’est simple 
Aux coins des yeux
Dans le blanc
Nombreux
En syncope
Liés
Dans les histoires 
Révélées 

 

​

 

 

 

 

 

​

De temps 

en temps 

Le noyau

tentant

s'étend

Le mouvement 

se détend.

Révolutions.

Les  liquides désirs sur le sable de diamants

aux engrenages.

Souffle  le gaz aux carrousels en feu

et  s’écoule la récréation.

 

​

 

 

 

 

 

 

 

​

​

​

​

Le cœur palpitant
se dessèche.
L'insecte est abandonné sur la pierre
au soleil des hommes bleus.
À La nuit du bleu des hommes.
Au désert. 
Caparaçonné de métal 
et d'anciennes peaux 
s’envole l’oiseau 
de nuit 
Les paroles se diluent sous les crânes

​

 

 

​

​

​

 

 

 

 

 

​

Dix par être 

au moins 

et plus 

aux extrêmes bords 

du révélé.

À la lisière 

entre les cils 

à l'équilibre de la syncope 

de pariétaux de nos infinis 

disparaître 

​

 

 

​

​

​

 

 

 

 

​

O oui 

vous le saviez 

O oui 

Ecrit c'était 

C'est 

O oui 

Ça Continue 

Ça tremble 

O oui 

C'est toujours 

Dessous et à fleur de 

O oui 

Brillant et profond 

O oui 

Nombreux et singuliers 

Vous le saviez 

O oui 

Ce tendre impénétrable 

Sombre et lumineux 

O oui 

Vert et pourpre 

En précieux 

Vous le saviez 

​

 

 

 

 

 

 

 

 

 

​

Contemplons impuissants 
un puits sans fond
aux disparitions
Un puis cent
Incontinents 
les flux oubliés 
À la bête abandonnées
L’Atlantide pacifique
À la guerre
Un syphon
Les petites marionnettes

 

 

 

 

 

 

​

​

​

​

​

​

 

 

​

Chute / 

Silence/

Météorituel des rêves froissées /

Super posés les sous venir dans l’épais du léger

En suspens.

Ouverture  aux clepsydres transparents 

Les pellicules brulent dans l’éblouissement.

ombre soi
deeper
Fratou
Pierre à Eau
Gray Matter
Hivernale
Jijusan
Nlep
bottom of page