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Amont

Mue
Ombre soi
Deeper
Fratou
Pierre à eau
Gray Matter
Hivernale
Jijusan
NIep
Pause
Lest
Nanouk

Daliath


Mind
Naomé
Koura
Omoï
Sisha
Touro
Ouka
Ecorcé
Corba (celui là n'est pas au point du tout)
Fukasa
Divinéant
Trajectoire
Ceros
Resquiadoux

Presque

Etonné de s’être plié

L’âge fait relief

A l’ombre et en surex

Tous ces moments

D’yeux

continuent à voir et se voir en échos

Fondre

Le feu du cratère

Distinguer à l’acmé  l’action

dans la chimie du contraste

savoir

ciel et terre

se voir

en Blanche lumière des ombres

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traits de musique

Dans l’étreinte

derrière ces palpitants

plusieurs chaleurs

sûrement 

et

longtemps

bien après

corps en ondes

notes en frissons.

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L’accueil fut

D’un poids

Profond

Il ouvre encore

Long et dense

des battements

Et toujours

L’accueil

En socle

Statue certes certaine

Respire encore

Profond

encore

Et toujours

Souvenir d’animal

L’Humain aimé

Et des battements

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tentative d’existence des accords à l’arrache

Saignements qui signent le mouvement violent

la douceur Pressentie avant la secousse

Le beau tourne dans sa boucle

 

 

 

 

 

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Le film en boucle

où il pleut dans la nuit

Projeté

Sur les vitres

obscures

Sous la pluie

Dans le noir

Les beaux les belles de noir vêtus de souvenirs

De velours et de pluie

ruisselante

Brillante et chaude

Pleurent de chaudes larmes

Dans la nuit belle du beau

En projet

noir

 

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La cosmogonie des danser dans les dieux d’artifices

La pensée à la pierre

Dans  l’air aux parfums

Relance en implosion

L’enfance de l’explosion en éclosion

Au ralenti du subtil

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Des siècles serrés dans le granit des espaces

les sons perdus ne servent plus

la poursuite du long débat  perdure en sourde vrille

soudant soudain les monolithes en un

au gel

 

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pause est

la  dune entre

l’entour en attente

et le sans vent

tu connais

rassurant

le point de départ

et

un  peu de loin

seulement

visible

une douce brise tiède

aux millions d’années

in sur ex

 

 

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au marbre des gris d’hiver

le froid lisse

définitif  et dur

la mémoire  paraphe par le carbone

et les blancs de subtiles approches et départs

la pierre dit la promesse de la cristallisation à chaque blessure

le survol ne  te sauvera  qu’un temps

ton temps.

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Un a côté de repli sur les plis

Repasse la noirceur

Remâche

Redéploye

Broie

crois

Puis replie

Respire l’air vicié

Expire

De nouveau

Et de nouveau

redéploye

Dans  l’aire

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acousmatique

les sondes dans les galeries

des milliards de mesures de distances

en micro

et en macro

creusent

dévorent

cathédrale elle même

sonde au macro

laissant dans on sillon

un cirrus homogenitus et des galeries….

 

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le laissé flotté

libère le lacet flottant

le reflet

l’albédo du sommeil

l’alcove évanouie dans l’éveil

à l’orée des abois

 

 

 

 

 

 

 

 

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Ça se déploie loin des lois 
du moins celles du moins 
du moins celles non pas d'ici
celles du supposé d'ici 
celles du superposé d'ici 
celles du posé d'ici
lois, s’il en est, 
plus d’ici d’ailleurs
celles-ci du plus
du loin 
d’émoi
d’ici

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la lumière

dessille les cils

au bord des lignes

la vie très vite cassée
luit
des bord d’heures
l’extérieur
le miroir déborde d’attraits
des signes dessinent
identiques et contraires
les mondes libres 

affolent 

à la réflexion 

trouble 

caresse
agresse

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